Du baby-blues aux névroses… et TSPT post-accouchement
De la Globalité de la Naissance
Dossier de l’obstrétrique Editions ElpEa N° 322 –
» Dans le phénomène du camp, ce qui a été dynamique dans le système de la destruction, c’est l’absence de soins… «
Myriam DAVID
Pédopsychiatre-
Introduction
C’est la première fois dans l’histoire des Sages-
C’est la première fois depuis la création des hospices destinés aux indigents, qu’on concentre des parturientes dans d’énormes structures où l’agitation et la surcharge de travail des soignants évoque plus l’urgence des hôpitaux de guerre, qu’un service de maternité, ce qui a inspiré la citation d’introduction.
Mais c’est aussi, en ces temps de technicité, la première fois, qu’une commission de périnatalité mandatée par le ministre de la Santé et composée de deux néonatologues et d’un gynéco obstétricien, prend en compte toute forme d’insécurité et ses conséquences sur le lien mère-
C’est peut-
Pour ma part ce sera aussi la première fois que je traiterai de pathologie, alors qu’en 16 ans de travail préventif auprès de 6 000 mères, je n’en ai jamais eu, à part trois cas de névroses du post-
Quelques rappels et précisions
Il est peut-
Une première expérience de psychomotricienne m’avait fait constater la fréquence de naissances difficiles chez les enfants en difficulté.
En reprenant mes études pour devenir sage-
Je savais que ce traumatisme pouvait avoir des conséquences dommageables, car il pouvait conditionner sa relation à son enfant et par-
J’ignorais que ma démarche allait m’emmener en expérimentateur sur le versant psychique de l’accouchement. Des études de Sophrologie Médicale jointes à ce qui allait devenir un long travail psychanalytique, m’ont permis de mettre des mots sur ce que je vivais dans mon expérimentation intensive sur le terrain. L’écoute de milliers de femmes tant en préparation qu’en salle m’a permis de comprendre qu’au-
Si les modalités n’en étaient pas respectées, une mère pouvait en rester traumatisée au point de ne pouvoir établir la relation à son enfant. Tout dépendait en fait de son histoire à elle, et de la façon dont on la laissait vivre son accouchement, à son rythme ou pas. Ce sont ces modalités, ces » lois » que nous allons revoir brièvement, car je les ai déjà longuement décrites(1a). Elles sont à la base de la méthodologie de la Préparation Globale.
C’est cette compréhension, jointe aux études citées dans les articles, qui m’avait permis déjà en 2000 de lancer un cri d’alarme : » en surmédicalisant, les connaissances actuelles montrent que nous faisons de la mère et de l’enfant des individus à risque psychique « .
Nous traiterons ensuite du sujet de l’article : les pathologies psychiques du post-
Nous verrons tout d’abord le classique baby-
Nous aborderons enfin les » TSPT » (troubles du stress post-
J’en donnerai quelques cas cliniques et émettrai certaines hypothèses car ils demandent un champ d’investigation. Dans les T.S.P.T, il y a attachement à l’enfant, en tous cas lien, mais un très grave traumatisme pour la mère qui peut demander –
Ils commencent à apparaître dans la littérature et sont du ressort d’une psychologie » spécialisée « .
En effet je suis plus inquiète que réjouie de l’arrivée actuelle (et prévisible) des » psy » en maternité (psychiatres adultes et psychologues cliniciens). En fait la majorité d’entre eux est formée en psychopathologie clinique. Or la grossesse psychique n’est pas une maladie. Daniel STERN (2) nous dit : » La configuration psychique maternelle ne ressemble à aucune autre configuration psychique existante « . Le risque est la psychiatrisation de femmes normales, vivant une crise en pré ou post-
Mais les congrès sur la grossesse psychique commencent à apparaître, donc il y a de l’espoir bien qu’une formation ne se fasse pas en un congrès.
Les psy connaissant la grossesse psychique et surtout sa finalité(je cite leurs travaux) sont encore en minorité.
A –
1 –
C’est un état transitoire caractérisé par la » transparence psychique » : les contenus de l’inconscient faisant irruption dans le conscient. Ces contenus sont les modèles éducationnels de l’enfance ou » patterns « . Je cite souvent Monique BYDLOWSKI : » l’enfant devient alors enfant de leur propre enfance » (3)
Passer de l’état de fille de ses parents à celui de parent de son enfant semble une évidence, c ‘est une loi incontournable !!!…
Mais pour l’inconscient, il s’agit d’une véritable pirouette que d’inverser les rôles, d’où la transparence psychique, qui amène à un grand remaniement et qui peut même passer par un état de crise.
» Normalement la femme atteint un stade pendant lequel elle est le bébé et le bébé est elle. Cela n’a rien de mystérieux, après tout elle aussi a été un bébé. Elle se souvient également des soins qu’on lui a donnés et ces souvenirs constituent une aide… ou un obstacle ! » Nous dit Winnicott qui l’avait si remarquablement compris.(4)
Ce travail psychique va aussi dépendre du positionnement inconscient de la petite fille, face à ses » patterns « , et du positionnement plus ou moins conscient de la future mère.
C’est ainsi qu’il peut y avoir réparation, opposition, innovation, ou le plus confortable : répétition. Mais le travail de la grossesse peut être aussi de chercher son positionnement : ce sont ces jeunes femmes anxieuses, qui ont perdu leurs repères, qui sont isolées et manifestement en quête d’identité.
Si on se réfère à la littérature, la psychanalyste Bergeret AMSELECK (5) emprunte au psychiatre psychanalyste(et précurseur) RACAMIER le terme de maternalité (condensation de maternel, maternité et natalité). » La maternalité est une période privilégiée car favorisant le vécu de chocs anciens et permettant à celle qui la vit de se soigner. Cette crise peut être organisatrice pour le psychisme à condition d’être accompagnée, développée et contenue… C’est la période la plus dangereuse pour l’identité « .
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Ce qui est très intéressant et abonde dans le sens de l’importance des » patterns » est le positionnement observé chez mes patientes » adoptées » et reproduisant le mode d’accouchement de leur famille (d’adoption). Or, dans ce cas la mère n’a pas accouché physiquement mais psychiquement. Je pense à Francine (et bien d’autres) accouchant par le siège, comme étaient nées sa mère et sa grand-
En substance le travail d’élaboration passe par le questionnement plus ou moins inconscient de la préoccupation maternelle primaire (4) : « Suis-
Mon travail de prévention m’a appris que la résolution de la crise passait par l’attachement progressif au bébé.
Mais notre surveillance médicale invasive, systématisée, axée sur la surveillance de la pathologie tant fœtale que maternelle répond par : « Non » à tout ce questionnement.
D’où l’inquiétude grandissante des mères, leur mal-
Et le discours social négatif aggrave encore ce processus.
2 –
Le questionnement de la grossesse : « Suis-
C’est cela que les femmes instinctives qui veulent « sentir », souhaitent expérimenter.
Et c’est pour cela qu’un accouchement apparemment « normal » peut ne pas l’être pour la mère, si quelque chose du passé s’est reproduit la renvoyant vers les conditionnements de l’enfance plutôt que vers son nouveau rôle de mère.
Du côté de la psychanalyse (5) : » l’accouchement contient en condensé pourrait-
Sur le terrain, pendant mes gardes, j’ai pu observer, à certaines étapes de la dilatation, des réminiscences spontanées d’évènements marquants de l’enfance. Je les ai citées dans l’article sur l’accouchement (1b).
J’ai compris peu à peu qu’aider les femmes à s’exprimer, à donner un sens les amenait à se positionner dans le présent : « Moi avec mon enfant je ferai ceci… ou cela… » Et la dilatation s’accélérait. Cela devint une pratique courante pour moi, amenant ainsi à ma conscience l’hypothèse du double travail physique et psychique de l’accouchement. Lever une stagnation de la dilatation pouvant se faire par une prise de conscience. J’ai pu voir ainsi au cours du travail des allers et retours rapides entre le Moi/enfant et le Moi/maman.
Alors dans mon travail de prévention, j’ai compris qu’il fallait mettre l’attachement en place avant l’accouchement : c’est cela qui rendait les dilatations plus faciles et rapides, et agissait considérablement sur l’intensité algique.
Mais l’attachement n’est pas toujours facile : c’est le fruit d’un « travail » qui permet de lever les barrages émotionnels.
La méthodologie des techniques sophroniques de la PG suit le processus naturel de l’attachement, et surtout permet aux mères de le mettre en place à leur propre rythme…
B –
1 –
C’est en fait le passage psychique décalé par rapport à l’accouchement physique, c’est donc un état « normal » bien qu’anxiogène.
Les sages-
Cet état dépressif transitoire peut durer 24 heures et nous avons toujours su le gérer en rassurant les mères et en leur permettant une grande nuit de sommeil réparateur…
Qu’en est-
Le grand étonnement des sages-
Il s’agirait donc bien de cela.
Rappelons-
2 –
Déjà décrites en 1978 par Monique BYDLOWSKI (6).
C’est en fait un état durable qui apparaît après la sortie précoce, qui est identifié parfois par une sage-
Que dit la littérature ? Le Dr CANON-
Comment devenir parent quand les soignants rejouent le rôle parental en décidant, déclenchant, « extrayant » ?… Aider au passage n’est pas interférer…
Si la mère dans son histoire a eu ce genre de parents elle est plutôt précipitée vers le passé (le Moi petite fille) que vers le présent (le Moi/Maman). D’où l’impossibilité d’entrer dans son nouveau rôle… et la dépression s’installe.
Mais comment faire quand on est sage –
Cas cliniques de névroses
Ce qui caractérise les névroses est aussi la grande difficulté d’attachement. Elle est bien sûr à différencier de la terrible psychose puerpérale qui parle en elle-
Je vais reprendre deux des cas cités dans un de mes articles (1b). J’en rajouterai deux autres récents rencontrés par les sages-
Cas n°1
J’ai retrouvé Christine prostrée, quelques heures après l’accouchement, me disant : » je vis l’horreur « . Elle raconte son arrivée de nuit dans un service surchargé, et les » reproches » (ou vécus comme tels) de la sage-
Nous ferons vite le lien entre son enfance (reproche de la mère, brutalité du père alcoolique précipitant le soir sans explication ses enfants dans la cave), et son accouchement.
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Il faudra deux heures pour que Christine sorte de sa prostration et puisse prendre son bébé (qu’elle avait rejeté comme elle avait rejeté ses parents). Elle sera suivie dès sa sortie par un réseau nouvellement créé, après l’apparition des premiers cas de névrose dans mon secteur.
Cas n°2
Un appel inquiétant à 8 heures du matin : » bonjour c’est Marie-
Elle raconte la triade classique d’un grand Centre Hospitalier : déclenchement –
» Ils disent que ça s’est bien passé, que le bébé a repris du poids, mais moi je vais très mal « .
Le réseau n’allant pas géographiquement jusqu’à son secteur : je lui demande de venir avec son bébé (une petite fille) et le mari si possible plutôt que la mère …je la trouve agitée, » obnubilée » par le bébé qu’elle regarde fréquemment… L’entretien met à jour sa relation à « sa mère-
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Il faudra un moment pour qu’elle trouve l’association entre la colère non exprimée en tant que fille de sa mère, et la colère vécue en devenant mère de sa fille… Il a fallu des techniques thérapeutiques très puissantes (en sophrothérapie) pour que Marie-
Un pédopsychiatre de son secteur a ensuite assuré le suivi.
Les facteurs traumatisants
Pour ces deux cas il y a de toute évidence manque d’accompagnement et/ou ingérence.
Tout aurait pu changer pour Christine si la sage-
Pour Marie-
La banalisation devient aussi dangereuse que la systématisation de l’hypermédicalisation.
Cas n°3
Rencontré par une sage-
Elle accueille en rééducation, Aurélie, qui a un petit garçon de dix mois. Celle-
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La sage-
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La sage-
Cas n°4
Recueilli par une sage-
Il s’agit d’une patiente primipare faisant une MAP à 35 S.A. Après une décision d’hospitalisation et de tocolyse le week-
Le bébé a 3 mois, il est très agité et sa mère pleure très fréquemment, visiblement en état de dépression, et très fragilisée.
La sage-
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Après avoir identifié les deux phénomènes de reproduction : l’autorité et l’abandon, Chantal se sentit mieux mais il fallut rapidement appliquer le protocole en sophrothérapie pour permettre en fait le passage psychique, qui n’avait pas été fait.
Dans ces cas là c’est une question d’urgence pour la mère comme pour l’enfant.
Facteurs traumatisants
Pour Aurélie, sans dossier médical on ne peut pas savoir si la césarienne a été abusive ou pas. Dans tous les traumatismes que je suis amenée à traiter en ce moment, ressort le sentiment d’avoir été négligée, ou contrainte…
Dans ce cas, on peut noter la coïncidence entre la séparation brutale d’avec le père et la fin brutale de la fusion mère/bébé (la césarienne) alors que dans les deux cas « tout allait bien. » Si le gynéco avait pris le temps d’expliquer, de préparer en somme, en accompagnant son geste il n’y aurait peut-
3 –
Ils commencent à apparaître dans la littérature.
Dans les cas que j’ai pu rencontrer, la différence notable avec les névroses, c’est qu’il y a malgré les difficultés, attachement à l’enfant mais… la relation peut être anxieuse voire pour certaines le bébé peut être vécu en danger mais j’insiste : il y a attachement.
Le Dr REYNOLDS (7) professeur d’université et Chef du Département de « Family Medecine » à Londres nous en parle : « c’est une expérience traumatique de la naissance entraînée par un traumatisme vécu antérieurement ». Il conclut en insistant sur l’importance de noter les antécédents « médicaux » avec soins pour déterminer si une femme a été victime d’un traumatisme pouvant entraîner un accouchement traumatisant. Il insiste sur la nécessité de prise en charge et notamment de la douleur, et après l’accouchement de soins attentifs qui incluent la compréhension de l’expérience vécue par la femme. Il conclut ainsi : » Des recherches beaucoup plus poussées s’imposent dans ce domaine « .
La psychiatre Aurore SABOURAUD-
1) Le sujet a subi une expérience qui a menacé sa vie, il a été exposé à un événement traumatique pendant lequel son intégrité physique a été menacée ou il a été témoin d’un événement au cours duquel des individus ont pu être menacés de mort ou grièvement blessés.
2) La réaction du sujet s ‘est traduite par une peur immense, un sentiment d’impuissance et d’horreur.
Le sujet revit cette expérience en permanence de différentes façons :
1 –
2 –
3 –
4 –
5 –
L’auteur fait la différence entre les traumatismes dûs aux humains (guerre,
attentats) et ceux qui sont dûs aux catastrophes naturelles. Les psychiatres de l’armée et les urgentistes connaissent bien ce phénomène…
Ce qui est important à signaler dans les T.S.P.T c’est qu’il n’y a pas
d’antécédents personnels particuliers. Cela peut arriver à tout le monde, face à des chocs violents et brutaux.
Dans mon exercice clinique j’ai rencontré onze cas de T.S.P.T, mais dont neuf étaient
effectivement directement liés à une catastrophe naturelle ou une guerre.
Lors des inondations de Vaison-
avaient perdu leur mère et/ou une partie de leur famille, et bien sûr tous leurs biens. Les équipes de déchoquage ne les avait que très peu vues en raison de leur état…
Je les ai réunies dans un grand groupe de travail, solidaire… J’ai pu effectivement constater chez ces femmes tous les signes cités plus hauts… Récits, pleurs sur ceux qui ne sont plus, et sur les violences subies… et biens sûr de ma part beaucoup de travail en sophrothérapie… Peut-
Quatre seulement d’entre elles (des primipares) ont pu accoucher par voie basse. Les autres ont dû être césarisées. Mais l’attachement en suite de couches était bien là et les bébés calmes.
J’allais rencontrer quelques années plus tard un T.S.P.T post-
L’attachement à son bébé allait peu à peu l’aider à dépasser ces symptômes.
Le jour de l’accouchement la dilatation s’est bien passée mais au moment de la poussée la sage-
Cet état allait durer près de deux mois.
En l’écoutant, quelques années après j’associais l’expression utérine : on l’a contrainte, avec l’oppression subie par elle, et les siens, dans son pays.
La question que je me pose est la suivante : N’y a-
Une sage-
Il s’agit de deux femmes s’étant vécues « prisonnières » pendant leur accouchement, long d’ailleurs, et qui s’est terminé pour les deux en OS et extraction instrumentale.
On ne note pas d’antécédent particulier au niveau des patterns.
Mais –
Sujet infiniment délicat… et à explorer. Il faut être très prudent.
Forte de cette expérience, la sage-
Au sujet des enfants des survivants de camps de concentration, Aurore SABOURAUD parle de troubles psychologiques : » Les enfants de ces victimes peuvent témoigner de la destruction qui a été opérée et en souffrent à leur tour « . Les deux patientes avaient entendu dans leur enfance les récits du vécu terrible de leur grand-
Les circonstances de l’accouchement les ont peut-
Ce que je peux affirmer sans crainte de me tromper est que l’accouchement est un très grand passage somato-
L’inconscient en effet associe la « séparation » avec le bébé (l’accouchement) avec celle des disparus (c’est cela l’aller-
Je pense, dans un autre registre, également aux agressions sexuelles subies dans l’enfance, et qui se somatisent par des douleurs importantes vaginales et/ou vésicales pendant la dilatation avec souvent une stagnation de celle-
Dans ce cas il faut absolument parler aux femmes du risque de douleur (ou de peur incontrôlable si elles sont périduralisées) pour qu’elles puissent gérer celles-
» L’accouchement est une porte battante entre le passé et le futur » remarquait récemment une sage-
Pour conclure sur les T.S.P.T, je ne peux m’empêcher d’associer la souffrance des mères à celle des sages-
Conclusion… et espoir
Les difficultés de la fonction maternelle (soins et présence psychique à l’enfant) donnent beaucoup de travail aux sages-
Je souhaite que cet article aide les sages-
Sans citer vraiment la fameuse étude californienne de 1994, qui associe accouchement difficile et rejet maternel à une augmentation considérable de violence et de crime chez l’enfant devenu adulte (1a), je parlerai de la souffrance de l’enfant.
Le bébé « coupé » de la présence psychique de sa mère vit des états de frayeur intense à un âge où il ne peut pas psychiquement « stocker l’information ». Le risque pour lui est une disproportion de réaction à un traumatisme ultérieur offrant la même intensité d’insécurité.
Sur le site, nous avons concentré toutes les études scientifiques sur les conséquences de stress périnataux. Ils montrent l’importance de la prévention de la pathologie de la grossesse et des troubles relationnels mère-
La violence, la maltraitance grandissantes, certains bilans départementaux faits sur les acquisitions cognitives des enfants de 3 ans –
C’est cela pour moi la lueur d’espoir… associée bien évidemment à tous les retours positifs des sages-
Je ne peux pas penser que les conclusions de la commission de périnatalité restent sans écho…
Dernière minute :
A la faveur de cet article une très importante littérature scientifique vient d’être mise à jour, avec notamment des données et des cas cliniques qui méritent une étude plus approfondie dans ce domaine.
Ce sera le sujet du prochain article.
N.D.A
L’absence de soins psychiques est très difficile à expliquer. Je sais parfaitement que Myriam DAVID parlait des camps de la mort… Mais elle en parlait pour rendre hommage au soin qu’apportent les nurses de LOCSY, ces « artistes au service de l’humanité », dit-
Bibliographie
1 –
Site : nposf.org
a) Le Versant psychique de la Grossesse DO n° 287
b) Le Versant psychique de l’Accouchement DO n° 289
c) La Préparation Globale DO n° 291
d) La Fonction Maternelle en Péril DO n° 310
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Grenoble –
3 –
4 –
5 –
6 –
la névrose traumatique post-
7 –
Acte du congrès Sages-
8 –
OF TRAUMATIC BIRTH
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